mardi 30 mars 2010

15780 Cheveux en seulement deux opérations!!! 4297 FUT, puis 1700 FUT et 500 BHT 12 mois après - BHR Clinic - Dr. Bisanga - Clinique greffe de cheveux - photos avant après


4297 greffes de cheveux ont été implantées à ce patient, via la technique bandelette / FUT, ci-dessous la résultat 12 mois après et la comparaison pré-opératoire en photos.
Résultat naturel et cicatrice invisible.
Le patient est revenu pour compléter le travail 12 mois après et fermer son vertex avec 1700 FUT et 500 BHT , le résultat en photos avant / après ci-dessous.
Ce sont 15780 cheveux qui ont été implantés à ce patient en deux opérations: RESTAURATION COMPLÈTE!

Pour plus d'information: rami@bhrclinic.com - CLINIQUE greffe de cheveux: BHR CLINIC

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2927 FUE avant / après - BHR Clinic - Clinique Greffe de cheveux



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lundi 22 mars 2010

Barbe et BHT via FUE



Comme toutes les greffes de cheveux, la cicatrice résiduelle et la repousse des greffes sont les éléments les plus importants afin que l’impacte soit le minimum et donc que la trace d’une greffe de cheveux soit au plus discret possible, voire invisible. Techniquement, il s’agit de garder intacte chacune des greffes durant leur extraction et de maximiser le processus de cicatrisation de la zone réceptrice.

Des traces de cicatrice sur la barbe seraient vraiment visibles et concernant les poils sur la poitrine, pour les personnes qui ont un style de vie à l’extérieur, il sera parfois difficile d’expliquer la raison de ces traces. Par exemple, la dernière chose désirée serait d’être obligé de laisser pousser sa barbe assez longue pour camoufler des cicatrices.

D’une zone à l’autre, les poils de la barbe sont plus ou moins faciles ou difficiles à extraire. La laxité de la peau et la structure osseuse de certaines zones devraient potentiellement causer un haut niveau de transections au moment du punch. Alors pour prendre sur toute la barbe, il est nécessaire de pouvoir en évaluer les conséquences. Généralement, le docteur Bisanga fera dans un premier temps de petites sessions de barbes afin d’évaluer le niveau de cicatrisation de chacun des patients. Également, pour évaluer l’espace qu’il est possible de laisser entre chacun des poils restants et donc le nombre de greffes qu’il est possible d’extraire tout en laisser un aspect tout à fait naturel à la barbe du patient, car cela dépend, certes, du type de peau, de la caractéristique du poil, mais aussi de la manière dont chacun cicatrise, par exemple, certains sont prédisposés à une formation plus importante de chéloïde.

De petites sessions de BHT semblent donc être la manière optimale de procéder : la cicatrisation est meilleure, les traumatismes éventuels sur la peau est les poils environnants sont minimisés et finalement l’extraction est encore meilleure. Donc pour obtenir un résultat optimal, cela prend plus de temps, mais quand le résultat est l’objectif, il est préférable d’être prudent pour obtenir le meilleur et atteindre ses objectifs de la meilleure manière possible tout en respectant au maximum les zones donneuse et receveuse.

vendredi 5 mars 2010

L’impacte de notre structure osseuse sur le nombre de greffes et le design à espérer d’une greffe de cheveux quant à sa ligne frontale


Il n’est pas nouveau d’apprendre que la génétique dicte notre apparence, la structure osseuse de notre crâne, nos caractéristiques capillaires et l’évolution que prendre notre perte de cheveux.
D’une certaine manière, la greffe de cheveux peut être considérée comme une tricherie face à ce que la nature a pourtant décidé. En utilisant les réserves naturelles, nous avons aujourd’hui la possibilité de designer une chevelure qu’une personne n’a jamais eu et même créer une ligne frontale plus basse que celle d’un adolescent.
Cependant, certains éléments sont importants à garder à l’esprit pour éviter certaines erreurs irrécupérables.

L’échelle de Norwood est générique dans le but de nous donner une idée sur l’évolution que peut prendre la perte des cheveux chez l’homme, mais cette échelle ne prend absolument pas en considération la structure osseuse d’un individu, or, cela peut facilement changer le nombre de greffes et le design qui peut être à considérer lors d’une greffe de cheveux. Par exemple si nous prenons deux cas de NW6 et une perte semblables, il est tout à fait probable que la surface à recouvrir puisse varier de 250 cm² à 400 cm² en raison de la différence de la structure osseuse qu’il peut avoir entre ces deux cas.
La structure osseuse peut aussi résulter en une zone receveuse plus large que la zone donneuse elle-même, quand cela est le cas il n’est alors vraiment pas recommandé d’opter pour une ligne frontale trop basse et trop droite, sous prétexte que c’était son état d’origine ou simplement par désire esthétique. Il faut bien garder en tête les éventualités futures de perte de cheveux. Il est important de restaurer l’équilibre facial, pas seulement à partir de l’élévation frontale, mais également en prenant en considération les côtés et le dessus de la tête.

L’idée est simplement d’avoir un design de ligne frontale aligné sur la courbe de l’os frontal, cette stratégie permet, une fois que les cheveux auront poussé avec une certaine longueur, de créer alors une très bonne illusion de couverture et d’équilibre facial. De cette manière, même avec des cheveux courts, le design sera plaisant au regard, sera naturellement en phase avec la structure osseuse et se mêlera très bien avec l’angle des tempes.
La structure osseuse du front peut paraître plus ou moins carrée, ronde, ovale ou triangulaire, et le design de la ligne frontale doit absolument lui correspondre pour assurer des traits faciaux normaux. La ligne frontale est unique chez chaque individu, correspond à la structure osseuse de chacun et n’a rien à voir avec un modèle qui pourrait être standardisé pour tous. Même parfois il est important de prendre conscience que tenter de récupérer une ligne frontale « comme on avait avant » n’est pas une bonne stratégie sachant que la forme de la structure osseuse elle-même évolue aussi avec l’âge et au fil des années.
Les larges structures osseuses peuvent être reconnues aisément grâce un large front, plat et un crâne qui paraît s’arrondir en deux parfois trois fois. Les structures osseuses plus larges ou simplement plus prononcées peuvent demander jusque 30% de greffes supplémentaires par rapport à une autre se trouvant plutôt dans la moyenne. Si la ligne frontale ne correspond pas à la structure osseuse mise en relation avec l’évolution que peut prendre la perte de cheveux et le dessin  donné par cette structure osseuse, cela pourra alors donner un résultat absolument pas naturel.
C’est une réflexion qu’il est important d’avoir en tout début de parcours avant toute greffe de cheveux, d’où l’importance d’un plan stratégique élaborer en partenariat avec un praticien qui saura élaborer et prendre en considération toutes ses variantes pour savoir vous diriger ou bien même parfois vous conseiller de ne pas vous engager dans une greffe de cheveux.
La greffe de cheveux n’est pas une cure, mais une option parmi d’autres visant à contrer la perte de cheveux et parfois elle peut être la mauvaise option !