vendredi 28 mai 2010

Redéfinition d'une ligne frontale et redensification de la zone frontale - 2431 greffes avec la technique FUE par le Dr. Bisanga - BHR CLINIC - Photos avant / après

La redéfinition de la ligne frontale permet, dans la plus part des cas, de redessiner le visage d'une personne, il n'est pas toujours nécessaire de créer tout un nouveau design, souvent il ne suffit que de s'aligner sur le design actuel. La reconstruction de la ligne frontale et la densification de toute la zone frontale, quand cela est confié à un praticien qui maîtrise parfaitement cet art, peuvent alors offrir un résultat des plus naturel.
Ci-dessous, un patient qui a reçu 2431 greffes via la technique FUE, sa zone donneuse est en apparence toujours la même, car c'est de manière stratégique que les greffes ont été extraites, la zone receveuse ne présente aucune trace de l'opération non plus. Toute l'opération s'est déroulée selon les protocoles habituels de BHR Clinic, le résultat est parfaitement naturel après 11 mois et aussi après 18 mois.
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Ci-dessus le résultat 11 mois après l'opération


Ci-dessous, avant l'opération avec le design prévu aligné sur la ligne frontale encore existante, le résultat 11 mois après.




Ci-dessous, le détails du résultat à 18 mois.
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Pour plus d'information: rami@bhrclinic.com - CLINIQUE greffe de cheveux: BHR CLINIC

lundi 24 mai 2010

2516 greffes en FUE chez BHR Clinic

Ce patient a reçu 2516 greffes chez BHR Clinic via la technique FUE,
ci-dessous son état avant l'opération et le résultat 10 mois après son opération:

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Pour plus d'information: rami@bhrclinic.com - CLINIQUE greffe de cheveux: BHR CLINIC

lundi 10 mai 2010

Les différents types de peau: Échelles des phototypes de Fitzpatrick

Le processus de cicatrisation sur le corps est assez différent que celui observé sur le cuir chevelu. L’hyperpigmentation ou même les tâches que l’on retrouve parfois sur la peau après cicatrisation sont rarement observable quand la zone concernée est sur le crâne. Cela pourrait être lié au fait qu’en comparaison avec le reste du corps, le nombre de glandes sébacées est très réduit sur le crâne.
Concernant la greffe de cheveux, quand il s’agit de BHT (Body Hair Transplantation, ou le fait de transplanter des poils du corps vers le cuir chevelu), la cicatrisation peut-être très différente en fonction des différents endroits où les poils sont prélevés. En d’autres termes, chez la même personne, la cicatrisation peut être différente d’un endroit à l’autre du corps, autant en ce qui concerne le résultat post-inflammatoire qu’en durée de résorption.

Afin de bien comprendre les différents types de cicatrisation, il est d’abord important de comprendre que cela peut aussi être différent d’une personne à l’autre, notamment, et en grande partie, en fonction des différents types de peau.
En 1975, Dr. Fitzpatrick, classifie les différents types de peau en fonction de la complexion et la réaction à l’exposition du soleil. Cette classification est une bonne aide pour la greffe de cheveux, surtout quand il s’agit de transplanter les poils du corps (BHT).
Phototype I :
Réaction au soleil : ne bronze pas, attrape systématiquement des coups de soleil.
Type : peau très claire, taches de rousseur
Phototype II :
Réaction au soleil : bronze difficilement, attrape souvent des coups de soleil
Type : peau très claire, des taches de rousseur apparaissent au soleil
Phototype III :
Réaction au soleil : a parfois des coups de soleil, bronze progressivement
Type : peau claire
Phototype IV :
Réaction au soleil : attrape peu de coups de soleil, bronze bien
Type : peau mate
Phototype V :
Réaction au soleil : a rarement des coups de soleil, bronze facilement
Type : peau foncée
Phototype VI :
Réaction au soleil : peau foncée, n'a jamais de coups de soleil
Type : peau noire
Par exemple, un albinos de type caucasien tombera bien sûr dans la première catégorie de phototypes, de la même manière qu’une personne dont l’origine ethnique se situe en Afrique subsaharienne serait dans la catégorie 6.  Souvent les personnes dont l’origine ethnique se situe vers les Indes ou l’Asie orientale se situerait entre les catégories 3 et 6. Puis la plus part de la personne dont l’origine ethnique est caucasienne dans les catégories 2 et 3.

Pour illustrer cela, prenons d’abord l’exemple de personnes dont le phototype pourrait se situer dans les catégories 1 et 2, pendant la phase de cicatrisation, il pourrait être observé : des rougeurs qui devraient diminuer progressivement, une peau qui pèle, puis une cicatrice blanche.
Dépendamment des nombreux éléments énoncés plus haut, le processus complet de cicatrisation peut prendre entre 4 et 18 mois et rarement jusque 24 mois. Les personnes plus jeunes pourront par exemple observer des rougeurs pendant plus longtemps.
L’usage de stéroïdes en pommade à appliquer sur la zone en phase de cicatrisation est connu pour aider la cicatrisation. De manière visible, cela se traduit par un degré moindre et une disparition plus rapide des rougeurs. Également de manière temporaire, la personne qui désire camoufler les rougeurs pourra utiliser des produits, types Calamine en lotion (différentes couleurs pour s’adapter à la couleur de peau de chacun).

Les personnes dont le phototype se situe dans les catégories 5 et 6, observent généralement des rougeurs qui sont suivies par de l’hyperpigmentation de la peau apparaissant de manière graduelle en même temps que la peau pèle, la cicatrice devient alors, à ce moment-là, plus blanche. Pour ce genre de peau, la cicatrisation est généralement accompagnée aussi par une phase d’hypertrophie de la cicatrice due au faite que le corps génère un taux plus élevé de collagène que ce qui est nécessaire. Cela apparaît comme une augmentation de la peau ou des boutons.
Autant pour l’hyperpigmentation que pour l’hypertrophie de la peau, cela peut se résorber en laissant d’abord une cicatrice blanche. Le processus complet de cicatrisation peut prendre entre 4 et 18 mois et rarement jusque 24 mois.
Également, l’usage de stéroïdes en pommade à appliquer sur la zone en phase de cicatrisation est connu pour aider la cicatrisation. De manière visible, cela se traduit par un degré moindre et une disparition plus rapide des rougeurs. Également de manière temporaire, la personne qui désire camoufler les rougeurs pourra utiliser des produits, types Calamine en lotion (différentes couleurs pour s’adapter à la couleur de peau de chacun).
La différence entre le premier groupe et celui-ci est principalement due à des pigments qui forment des mélanocytes dans la peau des personnes appartenant au second groupe.

Le plus de mélanocytes il y a, plus grandes sont les chances d’hyperpigmentation passagère durant la phase de cicatrisation de la peau.
Les personnes dont le phototype se situe dans les catégories 3 et 4 (parfois même dans la 2), pourraient observer, dans une mesure proportionnelle l’un de ces deux modèles de cicatrisation.

mardi 30 mars 2010

15780 Cheveux en seulement deux opérations!!! 4297 FUT, puis 1700 FUT et 500 BHT 12 mois après - BHR Clinic - Dr. Bisanga - Clinique greffe de cheveux - photos avant après


4297 greffes de cheveux ont été implantées à ce patient, via la technique bandelette / FUT, ci-dessous la résultat 12 mois après et la comparaison pré-opératoire en photos.
Résultat naturel et cicatrice invisible.
Le patient est revenu pour compléter le travail 12 mois après et fermer son vertex avec 1700 FUT et 500 BHT , le résultat en photos avant / après ci-dessous.
Ce sont 15780 cheveux qui ont été implantés à ce patient en deux opérations: RESTAURATION COMPLÈTE!

Pour plus d'information: rami@bhrclinic.com - CLINIQUE greffe de cheveux: BHR CLINIC

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2927 FUE avant / après - BHR Clinic - Clinique Greffe de cheveux



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lundi 22 mars 2010

Barbe et BHT via FUE



Comme toutes les greffes de cheveux, la cicatrice résiduelle et la repousse des greffes sont les éléments les plus importants afin que l’impacte soit le minimum et donc que la trace d’une greffe de cheveux soit au plus discret possible, voire invisible. Techniquement, il s’agit de garder intacte chacune des greffes durant leur extraction et de maximiser le processus de cicatrisation de la zone réceptrice.

Des traces de cicatrice sur la barbe seraient vraiment visibles et concernant les poils sur la poitrine, pour les personnes qui ont un style de vie à l’extérieur, il sera parfois difficile d’expliquer la raison de ces traces. Par exemple, la dernière chose désirée serait d’être obligé de laisser pousser sa barbe assez longue pour camoufler des cicatrices.

D’une zone à l’autre, les poils de la barbe sont plus ou moins faciles ou difficiles à extraire. La laxité de la peau et la structure osseuse de certaines zones devraient potentiellement causer un haut niveau de transections au moment du punch. Alors pour prendre sur toute la barbe, il est nécessaire de pouvoir en évaluer les conséquences. Généralement, le docteur Bisanga fera dans un premier temps de petites sessions de barbes afin d’évaluer le niveau de cicatrisation de chacun des patients. Également, pour évaluer l’espace qu’il est possible de laisser entre chacun des poils restants et donc le nombre de greffes qu’il est possible d’extraire tout en laisser un aspect tout à fait naturel à la barbe du patient, car cela dépend, certes, du type de peau, de la caractéristique du poil, mais aussi de la manière dont chacun cicatrise, par exemple, certains sont prédisposés à une formation plus importante de chéloïde.

De petites sessions de BHT semblent donc être la manière optimale de procéder : la cicatrisation est meilleure, les traumatismes éventuels sur la peau est les poils environnants sont minimisés et finalement l’extraction est encore meilleure. Donc pour obtenir un résultat optimal, cela prend plus de temps, mais quand le résultat est l’objectif, il est préférable d’être prudent pour obtenir le meilleur et atteindre ses objectifs de la meilleure manière possible tout en respectant au maximum les zones donneuse et receveuse.

vendredi 5 mars 2010

L’impacte de notre structure osseuse sur le nombre de greffes et le design à espérer d’une greffe de cheveux quant à sa ligne frontale


Il n’est pas nouveau d’apprendre que la génétique dicte notre apparence, la structure osseuse de notre crâne, nos caractéristiques capillaires et l’évolution que prendre notre perte de cheveux.
D’une certaine manière, la greffe de cheveux peut être considérée comme une tricherie face à ce que la nature a pourtant décidé. En utilisant les réserves naturelles, nous avons aujourd’hui la possibilité de designer une chevelure qu’une personne n’a jamais eu et même créer une ligne frontale plus basse que celle d’un adolescent.
Cependant, certains éléments sont importants à garder à l’esprit pour éviter certaines erreurs irrécupérables.

L’échelle de Norwood est générique dans le but de nous donner une idée sur l’évolution que peut prendre la perte des cheveux chez l’homme, mais cette échelle ne prend absolument pas en considération la structure osseuse d’un individu, or, cela peut facilement changer le nombre de greffes et le design qui peut être à considérer lors d’une greffe de cheveux. Par exemple si nous prenons deux cas de NW6 et une perte semblables, il est tout à fait probable que la surface à recouvrir puisse varier de 250 cm² à 400 cm² en raison de la différence de la structure osseuse qu’il peut avoir entre ces deux cas.
La structure osseuse peut aussi résulter en une zone receveuse plus large que la zone donneuse elle-même, quand cela est le cas il n’est alors vraiment pas recommandé d’opter pour une ligne frontale trop basse et trop droite, sous prétexte que c’était son état d’origine ou simplement par désire esthétique. Il faut bien garder en tête les éventualités futures de perte de cheveux. Il est important de restaurer l’équilibre facial, pas seulement à partir de l’élévation frontale, mais également en prenant en considération les côtés et le dessus de la tête.

L’idée est simplement d’avoir un design de ligne frontale aligné sur la courbe de l’os frontal, cette stratégie permet, une fois que les cheveux auront poussé avec une certaine longueur, de créer alors une très bonne illusion de couverture et d’équilibre facial. De cette manière, même avec des cheveux courts, le design sera plaisant au regard, sera naturellement en phase avec la structure osseuse et se mêlera très bien avec l’angle des tempes.
La structure osseuse du front peut paraître plus ou moins carrée, ronde, ovale ou triangulaire, et le design de la ligne frontale doit absolument lui correspondre pour assurer des traits faciaux normaux. La ligne frontale est unique chez chaque individu, correspond à la structure osseuse de chacun et n’a rien à voir avec un modèle qui pourrait être standardisé pour tous. Même parfois il est important de prendre conscience que tenter de récupérer une ligne frontale « comme on avait avant » n’est pas une bonne stratégie sachant que la forme de la structure osseuse elle-même évolue aussi avec l’âge et au fil des années.
Les larges structures osseuses peuvent être reconnues aisément grâce un large front, plat et un crâne qui paraît s’arrondir en deux parfois trois fois. Les structures osseuses plus larges ou simplement plus prononcées peuvent demander jusque 30% de greffes supplémentaires par rapport à une autre se trouvant plutôt dans la moyenne. Si la ligne frontale ne correspond pas à la structure osseuse mise en relation avec l’évolution que peut prendre la perte de cheveux et le dessin  donné par cette structure osseuse, cela pourra alors donner un résultat absolument pas naturel.
C’est une réflexion qu’il est important d’avoir en tout début de parcours avant toute greffe de cheveux, d’où l’importance d’un plan stratégique élaborer en partenariat avec un praticien qui saura élaborer et prendre en considération toutes ses variantes pour savoir vous diriger ou bien même parfois vous conseiller de ne pas vous engager dans une greffe de cheveux.
La greffe de cheveux n’est pas une cure, mais une option parmi d’autres visant à contrer la perte de cheveux et parfois elle peut être la mauvaise option !

vendredi 19 février 2010

Les résultats, en termes de repousses, sont-ils vraiment meilleurs via FUT que via FUE ? Le point sur la question :

C’est vrai qu’il est souvent plus commode de blâmer la technique ou les outils utilisés, quand les résultats d’une greffe de cheveux sont pauvres. Mais parfois, la raison se trouve simplement dans la manière dont la technique est pratiquée et la qualité du travail, du résultat en est inhérente.

La FUE est une technique en soi qui demande une maîtrise et un doigté particulièrement précis. Les résultats obtenus peuvent tout à fait atteindre les mêmes résultats en terme de repousses et même parfois de greffes disponibles dans la zone donneuse. Il est bon de garder à l’esprit que la FUE est une technique éprouvante à pratiquer, pour le docteur et son équipe. Également, il peut résulter certaines imperfections en quelques zones, donc en plus du doigté, de la maîtrise et de la résistance au stress et à la fatigue, de la compréhension, de la connaissance, de l’expérience et finalement aussi beaucoup de patience sont des qualités que tout praticien de la FUE doit avoir pour prétendre à des résultats équivalents tant en FUT qu’en FUE. Tout cela réside dans le simple fait que chacun des punchs pratiqués sur le scalpe peuvent augmenter le taux d’erreurs et bien entendu plus l’intervention est large plus le taux est grand.

Pour illustrer cela, prenons par exemple, un point qui n’est pas souvent discuté : la direction des cheveux au moment de l’extraction de la greffe et aussi de son implantation dans la zone receveuse, cela pèse également dans la balance pour un résultat optimal, car d’une partie à l’autre de la tête l’implantation de chaque cheveu doit être adaptée, alignée sur un schéma dicté originairement par la nature, de la même manière que la profondeur de chaque greffe doit l’être aussi.
Placée individuellement, chaque greffe de manière différente et avec un angle différent prend d’autant plus de temps au 
praticien qui veut offrir le meilleur résultat possible à son patient. Par exemple, durant l’opération, cela impose au praticien de constamment adapter sa position assise pour être correctement placée pour chaque greffe à implanter.
Une mauvaise compréhension des angles de cheveux et de leur répartition peut rapidement et facilement résulter d’un taux assez grand de transsections au niveau de la zone donneuse, des UF limitrophes à chaque extraction, mais également de la greffe extraite elle-même, qui alors ne poussera jamais.
Avec le temps, le 
praticien peut même sentir l’Unité Folliculaire s’insérer dans le punch. Pour cela, bien sûr une extraction entièrement manuelle est requise, une connaissance accrue et une longue expérience de la FUE, sont les conditions inhérentes à l’acquisition de cette performance essentielle à une greffe de cheveux optimale sous tous ses aspects.

lundi 15 février 2010

FUE : Les maximums de la zone donneuse !


Quand on planifie une greffe de cheveux via la technique FUE, il est primordial d’être conscient des éléments qui permettront une extraction des greffes de manière optimale pour la zone donneuse. Certains de ses éléments les plus importants résident simplement dans la planification de cette extraction dans le but de ne pas compromettre l’aspect de la zone donneuse après l’intervention. C’est également de cette manière qu’on optimalise les options futures dans le sens d’une conservation du maximum des possibilités que peut offrir un capital de greffes limité pour tous. Le degré d’extraction doit être calculé de manière à ne pas dépasser une certaine limite pour ne pas laisser des zones visiblement sans cheveux ou pour ne pas laisser de signes « d’extractions industrielles » deviendront visibles lorsque les cheveux sont coupé court.

Il ne faut pas croire que le nombre de cheveux disponible dans la zone donneuse est grand, sinon
1. Pourquoi ce nombre est-il tant limité?
2. Pourquoi la FUT peut-elle fournir un nombre plus conséquent de greffes chez la majorité des patients ?
3. Quelles sont les implications pour la zone donneuse ?

Les Limites de la FUE ?

La FUE ne laisse peut-être pas de cicatrice linéaire comme le fait la FUT, mais si elle n’est pas pratiquée correctement avec une réflexion poussée sur les limites et la manière d’extraire chacune des greffes, la multitude de petites cicatrices peut devenir visible et même toute la zone donneuse peut être compromise autant pour de futures sessions de FUE que pour des sessions de FUT.

Répandre les greffes au maximum sur toute la zone de sécurité, permet de garder une zone donneuse homogène, il n’est pas recommander de pratiquer la FUE sur une zone isolée, par exemple pour éviter de raser toute la zone donneuse, cela limiterait d’une part le nombre d’extractions et augmenterait les risques potentiels d’overharvesting dans cette zone (densité laissée drastiquement trop basse, impression clairsemée de la zone donneuse), en tout cas cela créera une zone avec une densité plus basse que le reste de la couronne et ne sera pas naturel, d’autant plus les cheveux sont courts.
Également la zone donneuse contient différentes parties, par exemple la zone occipitale (à l’arrière du crâne), contient plus de groupements de cheveux, il est donc plus facile d’extraire de cette zone plutôt que sur le reste pour obtenir un résultat « better/bigger/faster ». Cependant, il faut utiliser cette richesse à bon escient, en effet, cette zone contient donc plus de cheveux, plus de densité, plus de cheveux par Unités folliculaires ce qui rend cette partie plus facile à exploiter que le reste de la zone donneuse.

Le nombre de greffes total qui peut être extrait de la zone donneuse en FUE, dépend d’une clinique à l’autre. Le Dr. Bisanga, par expérience, pense qu’il est préférable généralement de se contenter d’une extraction de l’ordre de 25-30% par cm² sur une zone donneuse dont la densité est bonne et avec peu, voire pas du tout, de miniaturisation dans cette zone. Cela serait la limite pour être sure de ne causer aucun potentiel problème dans le futur.

Pourquoi les sessions de FUE ne peuvent pas atteindre le même nombre de greffes qu’une session en FUT ?

Dr. Bisanga limite ses sessions de FUE à 3000 greffes sur deux jours de travail consécutifs, or il est vrai qu’il atteint jusque 5000 greffes une une seule journée de FUT. C’est parce que l’expérience du Docteur l’a amené à la conclusion que pour un maximum de chance de repousse complète et pour une cicatrisation optimale, il était nécessaire de rester en dessous de cette limite. Également par rapport au nombre de jours de travail, cela semble être difficile pour le patient d’en supporter plus, mais également pour l’organisme dont les premiers jours de cicatrisations sont les plus importants.
En dépassant cette limite, on augmente également les chances d’être finalement obligé d’extraire des greffes de manière rapprochées les unes des autres, des zones partiellement sans cheveux en résulteraient au fur et à mesure que la zone donneuse devient plus chargée d’extractions, la FUE n’atteint plus son objectif de technique quasi invisible puisque des « gaps » vides font alors leur apparition. Chaque extraction doit garder un certain nombre d’UF autour d’elle pour rester invisible.

Une autre raison probablement est le temps, il est clair que pour atteindre un taux de repousse de l’ordre minimum de 95%, comme il est observé généralement chez les patients du docteur Bisanga, il faut garder la tête froide. Il n’est pas difficile d’imaginer que pratiquer des milliers de transplantations avec des punchs de moins d’1mm (0,75mm et 0,8mm, comme il est le seul à les maîtriser en Europe et fournit des résultats constants et au plus haut niveau) peut-être difficile à endurer au niveau mental et physique pour certaines personnes. Et même en ce qui concerne le patient lui-même il est généralement dur de passer plus de deux jours consécutifs en salle d’opération, les mêmes positions doivent être gardées pendant de longues heures, cela est donc difficile physiquement, mais peut l’être aussi mentalement.
Le rythme d’implants en FUE est de 500 à 1500 greffes par jours, ce qui est plutôt exceptionnel, au-delà de deux jours consécutifs le bien-être du patient commence à être fortement atteint et cela se lie lie au processus de cicatrisation qui, par conséquent, se voit diminué. Des chances de repousses diminuées et des cicatrices plus visibles résulteraient d’un processus de cicatrisation non optimalisé.

mardi 9 février 2010

L’excellence de la FUT / bandelette : la fermeture tricophytique


La FUT consiste à un prélèvement d’une fine bandelette de peau contenant un certain nombre de cheveux à l’arrière et sur les côtés de la tête. La zone donneuse est après refermée pour laisser une fine, presque invisible, ligne à proximité de laquelle repousseront les cheveux naturels et la camouflera sans peine. Également, parce que cette technique créée une tension minimum sur les tissus, même immédiatement après sa fermeture, cela ne permet également une perceptibilité minimum de la fermeture et donc quasi aucun changement cosmétique du scalpe et donc, une greffe de cheveux des plus discrète.
La fermeture tricophytique est aujourd’hui la technique utilisée à tous les patients qui ont pu obtenir un résultat fantastique. Techniquement, cela consiste en une triple fermeture de la zone donneuse après le retrait de la partie supérieure de l’épithélium. Les résultats sont excellents, surtout concernant les plus grandes sessions.
Il est important, tout de même, de garder à l’esprit que même s’il s’agit de la meilleure fermeture possible, cela résulte tout de même en une cicatrice. Elle peut être camouflée par les cheveux existants et avec les techniques actuelles de fermeture tricophytique, les cheveux peuvent être portés de plus en plus courts qu’auparavant sans que la cicatrice soit perceptible, mais s’il s’agit de raser la tête, la cicatrice serait visible.
La FUT est une technique d’extraction performante et éprouvée quand elle est pratiquée par des mains d’experts. Cependant le patients, lui-même a tout de même une certaine part de responsabilités quant à l’espérance de son résultat final, s’agissant des soins à administrer à sa zone donneuse. La cicatrisation « superficielle » est plutôt rapide et généralement cachée derrière les cheveux à proximité, la suture doit être retirées à 10 jours post-opératoires et ceci doit être effectué par une personne membre du corps médical. À partir du moment où la suture est retirée, le scalpe commence à reprendre petit à petit sa couleur, sa pigmentation habituelle, il est possible que cette étape prenne jusqu’à quelques mois. Un facteur très important est celui du stretch back ; pour l’éviter, il est préférable de limiter les activités ou les travaux d'envergure qui peuvent potentiellement créer une tension sur la nuque, avant que la laxité du scalp soit elle-même revenue à la normale. Même, la meilleure des fermetures peut s’étirer si trop de pression lui est administrée.
Ce genre de procédure est le résultat d’un vrai travail d’équipe ; le docteur dirige son équipe médicale composée de plusieurs assistants et autres techniciens placeurs qui diviseront la bandelette en unités folliculaires naturelles qui représentent chacun des greffes.
Concernant le nombre de cheveux qui peut être extrait dépend de plusieurs facteurs tels que la densité de la zone donneuse, ses dimensions et la laxité du scalp. La laxité du scalp peut réellement limiter la largeur de la bandelette qu’il est possible d’extraire et le docteur ira mesurer ce qu’il pense pouvoir être retiré sans soumettre une tension trop élevée au scalp. En même temps que la technique de fermeture, l’évolution de la FUT jusqu'à aujourd'hui, permet désormais d’obtenir un nombre de greffes encore plus élevé, qu’il est aussi possible d’obtenir chez les patients ayant une laxité et une densité moyenne, voire moins bonne. Le Dr. Bisanga est un praticien reconnu mondialement pour le résultat de ses greffes de cheveux et pratique ces techniques qui ont permis à beaucoup de patients, qui avaient pourtant des caractéristiques moyennes, de pouvoir obtenir des résultats qu’ils n’auraient jamais atteints auparavant. Il est possible d’atteindre facilement d’un patient moyen le chiffre de 4000 greffes et même jusqu’à 6000 greffes, qui est l’une des plus grandes sessions de FUT au monde achevée avec succès et la plus grande en Europe.
Même de larges FUT, 4000 et plus, peuvent être pratiquées plusieurs fois sur la même zone, si la laxité du scalp le permet, cela permet alors un nombre maximum de cheveux greffé en un temps minimum. La seule nécessité est de laisser le temps au scalp de se relaxer, puis, au moins à 12 mois de la première procédure, faire vérifier à nouveau sa laxité et sa densité afin de conclure si une autre procédure est envisageable et dans quelles proportions.